Aller au contenu principal
  • | Actualités |
  • | Publications |
    • MATIERE NOIRE
    • DE LA LITTERATURE COMME UN ART NUCLEAIRE
    • ARCHEOLOGIES FERROVIAIRES
    • ECRITURES DU MONDE : un voyage au pays des langues
  • | Articles |
    • Pluie noire (Kuroi ame) de Shoei Imamura : la cécité tragique
    • Les origines du butô
    • Pacheco/Perec : l’idéogramme et la lettre dans deux récits de Pacheco et Perec
  • | Collaborations |
  • | Textes inédits |
    • Fumer (une Bastos)
    • Tel un grutier
    • A’A
    • 竹
    • A un graveur
    • D’un enfermement vu comme un tableau
    • Est-ce encore chute
    • Monsieur O
    • Lipogramme en E du sonnet « Correspondances » de Charles Baudelaire
    • De la disparition des Récits photographiques de Christophe Macquet
    • Gâcher du noir
    • Un gisant
    • « La littérature c’est fini. Vous pouvez même l’aider à finir. Longue vie à la littérature ! »
    • Le pin, la pierre
  • | Archéologies ferroviaires : autour du livre |
    • Pressbook
    • Promenade poétique
    • Cinquante secondes d'arc
    • Mesures
    • Carte psychogéographique
  • | (No)body works |
  • | Photographies |
    • L’encore du dévers
    • Concentrique
    • Cale sèche
    • Disparition de l’auteur en quatre temps
    • Pâques à New Yorksérie de textures urbaines
    • Signes en effacement | 2
    • Passage dangereux
    • dehors | dedans
    • la main coupée | blaise cendrars
    • ficticious faulkner
    • Coloquintes
    • A bon chat, bon rat | cynique diptyque
    • dedans | dehors
    • Signes au bord de l’effacement
    • Voies ferrées
    • Eaux stagnantes
    • Texturologies
    • Barbelés
    • Seuils
  • | Sentimenthèque : 107 récits |
  • | Projet K |
    • Projet K | #1
    • Projet K | #2
  • | LMM Podcasts |
  • | Crédits |
  • | Abonnement & Contact |
Recherche
Fermer

L'OEIL A FAIM

Archéologies ferroviaires

Partager :

  • WhatsApp
  • Partager sur Tumblr
  • Mastodon
  • Plus
  • E-mail
  • Reddit
  • Pocket
  • Telegram

J’aime ça :

J’aime chargement…
  • Point final
  • Jours de deuil
  • Le Musée de l’Avenir
  • Un poète américain (Montana) traduit “2. Ca ne dure qu’une nuit” de Dâh en anglais, et ça donne :
  • Dâh, Dans la nuit khmère, continue son voyage
  • Facebook
  • LinkedIn
  • Soundcloud
  • Mastodon

par CrestaProject.
Revenir en haut
%d