
30 août, nuit
103. Echanges sur les sites spécialisés (Sous-mariniers, Guerre d’Algérie). J’obtiens des réponses à mes questions : que fumaient les militaires 1/sur un sous-marin (a priori, interdit, mais…), 2/en Algérie ? Puis en contact avec un fils d’ancien militaire en Algérie, le fils a écrit un livre. Suite à l’échange, je pars sur la piste du Bureau Maritime des Matricules ou BMM. J’apprends que la lettre T du matricule de mon père correspond à Toulon entre 1951 et 1962. Voilà un début de quelque chose. 2e piste, le SHD ou Service Historique de la Défense. Sur un site d’anciens marins du Savoyard, j’envoie des mails (messages in a bottle). Mail envoyé au Archives du personnel militaire de Pau (la piste la plus sérieuse).
31 août 21
104. C’est aujourd’hui la Saint Aristide : mon grand-père paternel, dont j’ai retrouvé le carnet de prisonnier de guerre en Allemagne. Clin d’oeil calendaire, pierre blanche.
105. …et chou blanc complet pour les messages in a bottle : retour des mails, pas de destinataire trouvé.
106. Parvenu au chapitre 13 du roman Après la guerre. Un des personnages, Daniel, envoyé en Algérie, parvient en vue des côtes algériennes. Un curieux sentiment m’arrête : j’ai écrit, il y a peu, une scène d’arrivée. Je repose le livre, démêlant mal ce qui m’agite : comparaison n’est pas raison, etc. Comment a-t-il fait, lui, cette arrivée de quelqu’un, quelque part ?